Qu’ils servent à souligner une occasion particulière ou une journée spéciale, telle que la Journée Internationale des femmes, l’envoi de courriels en masse (ou mass-mailing) est une composante incontournable des pratiques marketing.  

Ainsi, en 2020, 9 responsables marketing sur 10 en Amérique du Nord utilisaient encore le courriel comme l’un des canaux privilégiés de communication selon le Content Marketing Institute.

C’est ici que les plateformes d’envoi de SMS sortent leur épingle du jeu. En effet, si les campagnes de courriels demeurent un pilier des stratégies marketing, les statistiques liées à l’usage du mobile viennent bouleverser les croyances lorsqu’il s’agit de transmettre un message à caractère informatif, par exemple une offre de remplacement ou une confirmation d’entrevue.

Les 3 avantages du SMS sur le courriel : 

L’accessibilité : un utilisateur moyen consulte son téléphone intelligent 94 fois en une journée, selon Tecmark

Le taux d’ouverture des SMS est phénoménal ! Tandis que celui des courriels stagne à 20%, le taux d’ouverture des SMS est de 98%, d’après une étude de Gartner parue en 2016.

La délivrabilité : à moins d’avoir été spécifiquement reporté par l’utilisateur comme un correspondant indésirable, et – bien sûr – d’avoir le bon numéro de téléphone, votre SMS arrivera toujours à destination. À contrario, on comptabilise qu’un courriel envoyé en masse sur deux tombe directement dans la boite d’Indésirables et perd dès lors énormément de chances d’être consulté à temps.

Vous voulez proposer rapidement un remplacement à plusieurs candidats ou valider une affectation l’esprit tranquille ? Pensez à l’envoi de SMS !

  

Retrouvez l’entrevue croisée de Geneviève, Laura-Ann et Mélissa sur notre blog 

Du coq à l’âne

Journée des femmes ou journées des droits de la femme ? 

Afin d’unir les mouvements d’émancipation des femmes et de soutenir en particulier leur revendication au droit de vote, au tournant entre le XIXe et le XXe siècle, les partis politiques et syndicats progressistes commencent à célébrer une « Journée Internationale des femmes », dont la première eut lieu il y a 110 ans exactement, en 1911. 

En 1977, l’Organisation des Nations-Unies officialise la journée et en fixe la date au 8 mars, peut-être en souvenir des prémisses de la Révolution bolchévique, entamée par des femmes en 1917. La « Journée des Nations unies pour les droits des femmes et la paix internationale », plus communément appelée « Journée Internationale des femmes » est depuis célébrée à travers le monde, pour rappeler les victoires remportées (le droit de vote des femmes n’avait alors pas 40 ans au Québec) et les combats encore à mener (le recours libre à l’avortement ne serait acquis qu’en 1988). 

S’il est ainsi plus commode d’écrire « Journée des femmes » ou « Journée Internationale des femmes », d’autres préfèrent ainsi éviter tout amalgame avec une opération marketing et se montrent attachés à préciser qu’il s’agit d’une journée en faveur des « droits » des femmes dans le monde. 

Alors, doit-on dire « Journées Internationale des Femmes » ou « Journée des droits de la femme » ? Eh bien, les deux ! Mais surtout, ne dites pas « Joyeuse Fête de la Femme » ! 

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