eNews - juin 2018  

Société anthroposophique au Canada 

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Erika Stein Keipert traversé le seuil le  avril 13th, 2018; Châteauguay
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L'eNews paraît 10 fois par an à l'intention des membres de la Société anthroposophique au Canada. Veuillez faire parvenir toute correspondance à l'editeur.
 
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Le Conseil de la Société anthroposophique* au Canada a rencontré des membres du Québec, le dimanche 25 février, à la Grande Ourse, à Montréal. Les 21 participants ont exploré le présent et l'avenir de la Société en s'inspirant du deuxième volet de la Pierre de fondation, en lien avec le motif de l'année Lumière et chaleur pour l'âme humaine.  
Comment fortifier le présent et préparer l'avenir, avec pour horizon, en 2023, le centenaire du Congrès de Noël, où la méditation de la Pierre de Fondation fut donnée aux membres ? Quel est notre rapport personnel à la Société et à cette méditation ?  
Pour éclairer la réflexion, Arie van Ameringen, secrétaire général, a animé une activité artistique suivie d'une conversation. L'exercice, mené deux par deux, se déroulait en trois étapes. Chacun dessinait d'abord à la craie, sur une planche commune, une étoile à six branches. Puis, Arie demandait de transformer l'hexagramme en pentagramme, la transition du 6 vers le 5 se vivant parfois dans le chaos. Enfin, les deux partenaires reliaient leurs étoiles, chacun décidant de quitter son espace personnel pour s'ouvrir à l'autre.  
L'expérience a suscité toute une gamme de sentiments chez les participants : impuissance, panique, mais aussi conscience d'une intégration, d'un centrage, de la chaleur aussi. La conversation a donné lieu à des questions et à un partage d'expériences personnelles, dont la méditation. La clef de la guérison réside dans le rythme, a-t-on indiqué, à l'image de la pulsation du coeur et des poumons, dans une danse qui me conduit à l'autre, un pas à la fois.
La question de la réalité du Canada a aussi été abordée sous divers aspects : géographie et sentiment d'appartenance au continent nord-américain ; histoire et conscience de notre identité unique face aux États-Unis. Arie a relevé que pour la première fois, une majorité de responsables de la Société sont nés au Canada.
Un repas communautaire a clos la rencontre.
 
*Présents : Dorothy LeBaron, présidente, Micah Edelstein, secrétaire, John Glanzer, trésorier, Arie van Ameringen, Jeffrey Saunders, administrateur, et Susan Koppersmith.
 
Congrès des jeunes sur les leçons de la Première Classe 
  Date: Du 6 au 8 avril 2018 
  Endroit : Goethéanum, Dornach. 

Vue d'ensemble
35 membres de la Section des jeunes, membres de la première Classe âgés entre 23 et 36 ans et provenant de 15 pays du globe, se sont réunis pour assister au tout premier congrès sur le contenu des mantras de la première Classe organisé à l'intention des membres de la Section des jeunes.  
Ce congrès a été organisé et porté par des membres de la Section des jeunes :
Milena Kowarik (Suisse), Janna de Vries (Pays-Bas), Ioana Viscrianu (Roumanie), Paul Zebhauser (Allemagne/Suisse), Carmen Delia Tromp (Pays-Bas), Roi Schmelzer (Israël) et Johannes Kronenberg (Pays-Bas), en collaboration avec Constanza Kaliks, membre du Comité exécutif et responsable de la Section des jeunes. Le contenu du congrès a porté sur les 3 premières leçons de la Classe et sur le thème des trois facultés de l'âme : le penser, le sentir, et le vouloir.
 
JOUR 1 
Le congrès a débuté avec une présentation de Johannes et Roi sur l'évolution de la pensée telle que décrite par Steiner dans La Nature Humaine. On a fait le lien entre l'abolition de l'esprit humain décrétée lors du 8econcile œcuménique de Constantinople en 869 et l'énoncé de Descartes au 17esiècle à propos de l'acte de la pensée. La célèbre thèse de Descartes : "Je pense, donc je suis » a été évoquée par Steiner à la fois dans son aspect philosophique et dans son côté pratique pour démontrer que la pensée peut devenir esprit et peut amener l'humanité à une connaissance du monde spirituel.  On a également exploré le phénomène de l'apparition du doute comme une force qui agit à l'encontre de la perception spirituelle, et ce phénomène du doute a été identifié comme étant le fondement de notre conscience contemporaine. 
Suivant cette présentation sur la pensée, nous avons exploré les questions suivantes en petits groupes :

1.     C'est quoi la pensée?

2.     Comment le monde environnant influence-t-il notre pensée?

3.     C'est quoi le doute, et d'où vient-il?

 
En soirée, Rik ten Cate a donné un rendu libre de la première leçon de la Classe.
 
 
JOUR 2
Milena Kowarik a débuté la journée avec une présentation sur le royaume mystérieux du sentiment. Elle a parlé du fait que le sentiment occupe une place médiane en l'être humain entre le pôle du continuer
 
Micah Edelstein

Le retable d'Issenheim 
Je suis très heureuse de pouvoir annoncer la parution d'une traduction en anglais du magnifique livre de Michael Schubert intitulé : « The Isenheim Altarpiece » (Le retable d'Issenheim). L'original avait été publié en allemand en 2007 et avait reçu un accueil très favorable. Ce retable en forme de triptyque a été peint il y a plus de 500 ans par Matthias Grünewald, artiste d'une imagination et d'un technique exceptionnels, dont on connaît peu de chose. Commandé par un abbé antonin au tournant du seizième siècle et monté dans la chapelle du monastère d'Issenheim, le retable est vite devenu une source d'espoir et de guérison pour les malades de l'hospice atteints du « feu de St. Antoine », une maladie fatale contractée par la consommation de seigle contaminé. Une icône d'harmonie et de grâce céleste, cette peinture peut servir d'antidote contre les soucis quotidiens occasionnés par la turbulence et l'agitation globales de notre époque. Le nombre croissant de visiteurs du musée de Colmar, en France, où ce polyptyque est actuellement exposé, témoigne de sa réputation comme étant une importante création artistique de nature transcendante. 
On dit qu'une véritable œuvre d'art opère d'elle-même une transformation dans l'âme du spectateur. Cette intention est implicite dans le retable. Comme tant d'autres grandes peintures religieuses de la renaissance, qui unissent les valeurs esthétiques et spirituelles, le mariage de beauté et de vérité de ce retable se communique à travers un mélange inspiré de couleurs et de formes. La beauté de ces images bibliques et les mystères qui les accompagnent ont le pouvoir de nous couper le souffle, touchant des recoins de notre âme qui n'ont jamais été atteints auparavant. Nous nous trouvons envahis par un sentiment d'émerveillement, de paix et de reconnaissance. Cette expérience de la beauté dépasse le pouvoir des mots; elle occasionne une saisie instinctive de la vérité qu'elle renferme; le mot grec aletheia, qui signifie ce qui n'est pas caché, implique une révélation de quelque chose qui existe dans les profondeurs, en dessous du niveau de ce que l'œil peut percevoir. 
La puissance de cette expérience a été confirmée dans le vécu même de l'auteur, Michael Schubert. Il a été profondément secoué et ébranlé, touché jusqu'au tréfonds de son être, lorsqu'il s'est trouvé face au panneau du retable représentant la crucifixion; il venait en effet de découvrir le musée de Colmar, continuer.....
Treasa O'Driscoll

 
Nouvelle zone de recherche sur notre site web 

Lors du congrès À la recherche de notre humanité, tenu en 2016, un des volets importants de l'événement a été celui des présentations de recherche, où les participants pouvaient partager les résultats de leurs recherches personnelles inspirées de l'anthroposophie.
 
Dans nos efforts d'appuyer les initiatives de nos membres, nous avons ajouté à notre site web une rubrique «  Recherche » où vous trouverez déjà trois contributions (NDT pour le site en français, il y a pour le moment un seul article publié, traduit de l'anglais). Nous sollicitons vos contributions, et vous encourageons à les envoyer à notre administrateur, Jef Saunders, à : [email protected] .
 
 
« Il est en effet inscrit dans le karma de chaque anthroposophe : sois un individu d'initiative... Cela devrait apparaître sans cesse, écrit en lettres d'or, devant l'âme de tout anthroposophe. »
 
EVENTS CANADA 
Décès

Stefan Schwabe : 5 mars 1946 - 23 septembre 2017

Né à Zurich, en Suisse, Sefan était l'aîné de quatre fils. Il est venu s'installer en Colombie-Britannique avec son père et l'un de ses frères dans les années 60, et il y a vécu jusqu'à sa mort à Nelson, Colombie-Britannique, en 2017. Père adoré de Debora, Sheyla, Felicia et Savanna, Stefan avait perdu sa femme chérie, Cree, en 2008. 
 
Stefan avait été l'apprenti du sculpteur Herbert Witzenmann, et ce dernier a eu une énorme influence sur sa vie. Durant toute son existence, Stefan proclamait souvent son amour et son appréciation pour ce que Herbert lui avait apporté dans sa vie. 
 
Durant ses premières années à Vancouver, Stefan a travaillé comme apprenti graveur de pierres tombales, et cette formation l'a conduit ensuite vers la sculpture sur bois, art pour lequel il s'est fait connaître.  Stefan adorait le bois; il appréciait la vie que cette matière renferme et la variation de ses textures et ses propriétés. Il a dit une fois que ce qu'il avait de plus précieux, c'était sa trousse d'outils de sculpture. Stefan adorait également la musique classique et le son de la flûte, et en particulier celui de la flûte de pan. Un de ses petits plaisirs préférés, c'était de déguster un croissant avec son café au petit déjeuner, car cela lui rappelait les années qu'il avait passées auprès de sa mère. 
 
Stefan était membre depuis longtemps du groupe d'études anthroposophique hebdomadaire, où l'on appréciait beaucoup son sens de l'humour, ses questions probantes et son esprit philosophique. Au cours des années, Stefan a contribué de bien des manières à la vie de l'anthroposophie. On peut apprécier un bel exemple de son travail du bois en observant les linteaux au-dessus des portes de l'école Waldorf de Nelson, où ses filles ont été élèves et où Stefan lui-même a participé aux réunions et à l'organisation des fêtes. Un don précieux de Stefan à la vie de l'anthroposophie a été sa traduction des versets du Calendrier de l'âme de Rudolf Steiner. Voici sa version en anglais du verset pour la vingt-cinquième semaine du Calendrier : 
 
I may now own my Self
And radiate and spread my light
In Space and Time so dark.
The natural Being seeks to sleep,
The depths of soul shall wakeful be
And wakeful, bring the sun's warm glow
To frigid tides of winter.
 
Durant la dernière semaine de sa vie, Stefan a été une inspiration pour ses amis et pour les membres de sa famille : face à sa mort imminente, il a démontré comment un être humain peut confronter cette dernière étape de la vie avec grâce et confiance. 

Barbara Walters
Thornhill. ON                                                June 2018

Inner Work Path - Lisa Romero, June 5th, 7:00pm at the Christian Community
Recognizing the Christ Impulse - with Lisa Romero, June 8 - 10, at the Christian Community

Barrie, ON                                                      July 2018
The Planets in Movement and Color
A Summer Festival in Barrie at  Natura Medical Arts Centre
July 6,7,8, 2018 (Friday-Sunday)

EVENTS ABROAD
USA                                                                             July 2018 
Encountering Nature and the Nature of Things 
Practicing a Science of Phenomena - New one year course
Two 2-week intensives at The Nature Institute: July 9-21, 2018 and July 8-20, 2019 

 Guided study and practice during the year in between 
Core Faculty: Craig Holdrege, Henrike Holdrege, Jon McAlice, John Gouldthorpe 

To learn more about the program, click here. We have also attached a flyer.
Please pass the word on about the program to anyone you think may be interested. 

Europe                                                                         July 2018 
Rudolf Steiner's Mystery Dramas Around the World
Human beings discover themselves through others.
Rudolf Steiner expands on this simple yet remarkable sentence by Martin Buber in his four mystery dramas.
It is therefore not surprising that staging these works of art again and again in a whole variety of ways, in order to secure the depth of our working and being together, is one of the most magical and memorable traditions found in anthroposophy. The more we rely on each other in today's differentiated world, experiencing how our confusion often distorts this depth, the more relevant it seems to me today to both perform and to see these plays.

The Spirit of English: London, UK             August 2018

Anthroposophy Worldwide - # 5, 2018


 
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