Changements d'habitudes, d'heure et d'horaires,...Le Maroc bouge sans rien changer à la sérénité et la douceur de vivre qui règnent à L'Orangeraie, ce village résidentiel au charme unique, niché dans un parc d'agrumes de 28 hectares.

Contrairement à l'Europe, où les températures estivales ne sont pas toujours au rendez-vous, à L'Orangeraie, l'été rime déjà avec farniente : cours d'aquagym ou longue marche au bord du lac, déjeuners en terrasse au bord de la piscine, sieste dans le jardin à l'ombre de son palmier, cure détente au Spa pour clore la journée, le programme de nos résidents et vacanciers est idéal pour se ressourcer.

La période est également propice à la visite des lieux magiques qui entourent le village : plages sauvages sur la route de Sidi Ifni, oasis spectaculaires sur la route de Skoura, jardins botaniques près de Taroudant,...à découvrir dans nos rubriques carnets de voyage et bloc notes.

Bonne lecture !


Kamil Msefer & Omar Maaouni. 
L'INFO DU MOIS


Le mois de ramadan

Le mois de Ramadan correspond au neuvième mois du calendrier lunaire.

Pour les musulmans, le Ramadan constitue l'un des cinq piliers de l'Islam.  Durant 29 ou 30 jours, ils se consacrent principalement au recueillement et au  jeûne. Période où la douceur, la compassion, la patience et l'humilité sont  également de mise. Ils doivent aussi verser une aumône à la mosquée ou à une  personne dans le besoin. Le soir venu, ils se rassemblent en famille et avec les  amis pour partager un repas de fête.

Au coucher du soleil, vous pourrez donc découvrir et redécouvrir le repas  traditionnel quotidien, appelé Ftour, avec ses spécialités sucrées et salées et sa  fameuse soupe, la Harira, dans les restaurants et cafés d'Agadir, mais aussi à  quelques kilomètres du village.

Flashback 

L'UFE d'Agadir à L'Orangeraie.
1er mai 2016



Par une belle journée printanière, L'Orangeraie a eu le plaisir d'accueillir le  groupe de l'UFE Agadir au sein de la résidence. Golf, pétanque, cartes, le  groupe de l'UFE s'est essayé à de nombreuses activités. Accompagnés de nos  résidents, ils ont pu découvrir la joie de la vie à L'Orangeraie et partager des  moments chaleureux.

Au restaurant, Sophie et son équipe les ont accueillis avec un menu spécial pour  l'occasion.

Créée en 1927, l'Union des Français de l'étranger (UFE) est la plus importante  association de Français à l'étranger. Association reconnue d'utilité publique, a  pour fonction de venir en aide aux Français installés à l'étranger. L'UFE MAROC  regroupe près de 2.000 adhérents. L'UFE AGADIR enregistre à ce jour plus de  900 adhérents.

Retrouvez les photos de cette journée sur notre page Facebook :
https://www.facebook.com/dyarshemsi/posts/1216213278398316

Site web : http://agadir.ufe.org

VOTRE ESPACE



Sylvie et Lionel SANNIER, technicien en maintenance informatique (56 ans) et  commerciale (50 ans). Originaires de France et résidant actuellement dans le  Var sur la Côte d'Azur, ils nous racontent pourquoi ils ont décidé d'acheter une  villa à L'Orangeraie.

"Nous habitons depuis longtemps sur la Côte d'Azur et nous étions à la  recherche d'une résidence secondaire, dans un endroit où nous pourrions  profiter de nos vacances. Nous sommes d'abord partis en Espagne et avons  trouvé un appartement chez Marina d'Or. C'était un beau projet avec un golf et  de nombreuses activités, mais les prix étaient trop élevés.

Ils nous ont alors proposé un projet en construction au Maroc dans la ville  nouvelle de Tamesna. Nous ne connaissions pas du tout le Maroc. Nous avons  fait quelques recherches, la situation était intéressante, c'était à côté de la plage  de Skhirat et pas loin de Rabat. Sur le plan, il y avait un centre commercial, un  hôtel 4 étoiles, tout semblait sympathique. Quatre ans plus tard, l'immeuble était  construit mais ce n'était pas ce que l'on nous avait promis et cela ne nous  convenait plus. Cependant nous étions tombés amoureux du Maroc, de ses  paysages, de ses couleurs et de la gentillesse des Marocains.

Nous nous sommes alors intéressés à d'autres projets au Maroc et c'est là où  nous avons découvert L'Orangeraie de Dyar Shemsi, en 2009. Nous avons pris  rendez-vous et avons visité le village avec la commerciale. Le projet était encore  en construction mais nous avons beaucoup aimé le concept. Nous avons suivi le  projet pendant plusieurs années, en revenant régulièrement en location.

C'était aussi la première fois que nous découvrions la ville d'Agadir. Elle nous a  tout de suite plu, le climat était plus chaud et c'était plus dépaysant. A  L'Orangeraie, nous sommes à la campagne, nous croisons des dromadaires,  des chèvres et des ânes sur la route. C'est un merveilleux village et les habitants  sont très accueillants et souriants.

Avant d'acheter, nous sommes allés voir un autre projet à Aglou sur la route de  Mirleft, qui proposait pratiquement les mêmes tarifs mais ce n'était pas les  mêmes prestations et c'était trop loin d'Agadir.

A L'Orangeraie, les villas ont été bien pensées, nous avons des grandes baies  vitrées qui s'ouvrent sur le jardin. Les villas sont lumineuses, les jardins joliment  aménagés et c'est extraordinaire de vivre au coeur d'une orangeraie.

Nous sommes impressionnés par le calme, et nous y dormons bien. Il suffit de  quelques jours au village pour se ressourcer. Nous avons hâte de réceptionner  notre maison cet été !"

Vous aussi, racontez comment vous avez découvert L'Orangeraie et partagez avec nous vos meilleurs moments et souvenirs en nous écrivant à  [email protected]
















Les bienfaits du jeûne

Depuis longtemps, le jeûne est utilisé pour ses vertus diététiques et  thérapeutiques. Une diète de plusieurs jours permettrait en effet de régénérer  l'organisme, de purifier la peau ou encore d'améliorer son bien-être. À condition  de respecter quelques règles. Passage en revue des bienfaits de l'ascèse  culinaire et conseils du docteur Françoise Wilhelmi de Toledo, spécialiste du  jeûne et auteure de  L'Art de jeûner. 

«  Il faut être mesuré en tout, respirer de l'air pur, faire tous les jours (...) de  l'exercice physique et soigner ses petits maux par le jeûne plutôt qu'en ayant  recours aux médicaments  », aurait affirmé Hippocrate (460-375 av. J.-C.). Près  de 2500 ans plus tard, et même si certains médecins lui contestent une  quelconque utilité, le jeûne thérapeutique continue de séduire. Depuis le XIXe  siècle, il fait l'objet de nombreuses expériences ayant pour but de prouver ses
effets préventifs et thérapeutiques. Depuis 1980, en Russie, il est inscrit dans  une politique de santé publique. Certaines cliniques proposent même des  séjours de jeûne thérapeutique. C'est le cas de la clinique Buchinger à  Überlingen, dans le sud-ouest de l'Allemagne.

Mais le docteur Françoise Wilhelmi de Toledo (1), directrice de la clinique, met  en garde. Le jeûne n'a rien d'un régime express et ne se réduit pas à arrêter de  s'alimenter pendant plusieurs jours : « On ne décide pas de jeûner du jour au  lendemain. La démarche doit être réfléchie et médicalement accompagnée. Le  jeûne doit être planifié, pratiqué à l'abri du stress, rythmé par des pauses, des  activités physiques, des lectures. »

Pratiqué sérieusement, le jeûne procure des bienfaits que l'organisme ressent  rapidement. Tour d'horizon :

Une peau neuve

Stress, fatigue, alimentation déséquilibrée : les excès se traduisent sur la peau  par l'apparition de boutons, de cernes, un teint terne, un surplus de sébum... En  jeûnant, « la flore intestinale est au repos, elle n'est plus en contact avec de la  nourriture toxique et se rééquilibre. La production de sébum est donc réduite, les  impuretés disparaissent, la peau se régénère et devient plus lisse », précise le  docteur Françoise Wilhelmi de Toledo. Le médecin met toutefois en garde : « Si  le jeûne est trop long, il peut creuser les rides. » La régénérescence du corps  profite aussi aux cheveux, qui se retrouvent fortifiés et plus simples à coiffer.
Quant aux dents, elles gagnent en blancheur.

Le système digestif au repos

Bien souvent malmené par une alimentation déséquilibrée ou trop riche, le  système digestif prend quelques vacances grâce au jeûne : « Le foie et les  parois de l'intestin se régénèrent, le pancréas et l'estomac sont mis au repos et  la flore intestinale se rééquilibre », explique la professionnelle. En favorisant  l'élimination de toutes les toxines de l'organisme, le jeûne se transforme en  véritable détox.

Perte de poids

S'il ne doit pas être considéré comme un régime, le jeûne entraîne néanmoins  obligatoirement une perte de poids. « Quand nous consommons plus de calories  que ce dont notre corps a besoin, le surplus est stocké sous forme de graisse.
Pendant le jeûne, le corps puise directement dans ces réserves et brûle des  calories », explique le docteur Wilhelmi de Toledo.

Lutte contre les maladies cardio-vasculaires

C'est une conséquence directe de la perte de poids. « Les excès augmentent le  risque de développer une maladie cardio-vasculaire. Quand nous jeûnons, notre  taux d'insuline et notre taux de sucre diminuent, les graisses stockées sont  mobilisées, et les réserves excédentaires vidées. » Sans oublier qu'une bonne  hygiène de vie au quotidien participe à la bonne santé cardio- vasculaire.

Sérénité et apaisement

C'est pour le moins étonnant. D'autant plus que nous aurions plutôt tendance à  être agressifs lorsque la faim nous tiraille ! Mais après deux ou trois jours de  jeûne, la sensation de faim disparaît. « Nous ne sommes plus dans le cycle  classique "j'ai faim, je mange, je suis rassasié". Nous entrons dans un état de  contentement et l'on ressent de la sérénité », explique Françoise Wilhelmi de  Toledo. L'experte rappelle que ce grand ménage de l'esprit ne peut s'opérer qu'à  condition de respecter certaines règles : « Un jeûne nécessite de la disponibilité  pour rythmer les journées par des lectures, des marches ou de la méditation. »

source : http://madame.lefigaro.fr/bien-etre/les-bienfaits-du-jeune-200415-96232

LA RECETTE DU MOIS

Tajine de poulet à l'orange

Ingrédients / pour 4 personnes

- 2 gros oignons - huile d'olive - 1 kg de poulet - 2 cuillères à café de cannelle - 2  cuillères à café de gingembre - 2 cuillères à café de coriandre - 1 dosette de  safran - 2 oranges non traitées - 3 cuillères à soupe de graines de sésame - 3  cuillères à soupe de miel.

1. Émincer les oignons et les faire dorer dans une sauteuse ou une cocotte dans  l'huile d'olive chaude.

2. Quand les oignons sont dorés, les retirer et faire dorer la viande.

3. Lorsque la viande est dorée, ajouter les oignons, saler, poivrer.

4. Ajouter la cannelle, le gingembre, la coriandre et le safran.

5. Couvrir d'eau et faire cuire à couvert 1 heure à feu doux. Pendant ce temps,  couper les oranges en demi-rondelles et les faire blanchir pour enlever leur  amertume.

6. Au bout d'1 heure de cuisson, ajouter les oranges, les graines de sésame et le  miel et poursuivre la cuisson 20 minutes.

source : http://cuisine.journaldesfemmes.com/recette/326487-tajine-de-poulet-al- orange


Maroc, le Sud rêvé par Gilles Denis



C'est une route qui s'apparente à celle des rêves de caravaniers et qui flirte avec l'imaginaire. Au coeur des paysages les plus beaux du Maroc, voici d'Agadir à Skoura, une expérience de l'aventure version nomade de luxe.

Il n'y a pas d'alternative. Pour goûter cette route rêvée qui va d'Agadir à l'oasis de Skoura, à quelques dizaines de kilomètres de Ouarzazate, en effleurant tout à la fois les fureurs de l'Atlantique et les mystères de sable du désert, il faut se décider à lâcher prise. Oublier de demander quelle sera la prochaine étape, accepter la surprise qui surgit, accueillir les contrastes, laisser la route s'emparer d'elle-même, car elle est la métonymie du voyage. Et les voyages se vivent plus qu'ils ne se racontent ou ne se photographient. Surtout quand ils sont construits comme une expérience et que leur narration est rétive à tout déroulé. C'est le cas de cette Route du Sud, ouverte il y a moins d'un an à quelques privilégiés. Malgré la beauté de son nom, son tracé ne recouvre aucune réalité historique bien avérée, quand bien même elle croise les anabases extraordinaires et bien réelles des caravaniers d'hier et d'avant-hier, revenant d'Afrique subsaharienne en transportant sel et trésors. C'est parce qu'on a toujours imaginé leurs aventures et les vicissitudes de leurs destins que, soudain, le décor peut paraître familier, quand, au détour d'un canyon de pierre, jaillit une palmeraie comme celle d'Akka et que l'on s'y arrête pour quelques instants de pause, sur des tapis jetés à même le sol : seuls le bruissement de l'air dans les branches des palmiers et celui de l'eau qui s'écoule entre les lauriers roses pourraient perturber la rêverie. Rien ne semble pouvoir percer le silence et le combat  perpétuel que la terre livre ici au soleil. Soudain, des rires d'enfants qui passent sur le chemin les ramenant de l'école. Ils sourient aux visiteurs et se pressent. Le silence de nouveau. Et puis le bavardage de femmes qui rentrent après avoir cultivé le lopin de blé ou de luzerne ponctuant ces oasis à l'irrigation savante venue du fond des âges.

La modernité se fait discrète dans ces paysages du Grand Sud. Seules les routes impeccables et l'entrée souvent monumentale des bleds et de villes comme Guelmim viennent replacer les lieux dans le contexte historique : la région, éloignée des grandes cités impériales, a toujours été un symbole choyé par le pouvoir. Au XXIe siècle, on n'a pas baissé la garde : les infrastructures sont là, et les montagnes se couvrent parfois d'inscriptions célébrant Dieu, le roi et la patrie. Peu importe que l'exode rural ait frappé ici comme ailleurs et que nombre de villages paraissent désertés. Accrochés à la montagne, ils semblent arrachés à un tableau de Majorelle, avec leurs anciennes maisons de pisé ne résistant pas à l'écoulement du temps et à la force des vents : elles fondent sur elles-mêmes dans une manière de retour à la terre, se confondant avec le relief, comme si elles avaient rendu les armes face à la violence des éléments.

Comment pourraient- elles d'ailleurs résister dans ces paysages marqués par l'érosion ? Ce Sud-là est une manière de galerie de géologie à ciel ouvert. Voici en noir et ocre, rouge et gris, soulignés du vert des limons, un résumé en Cinémascope de l'histoire de l'univers entre lacs asséchés le long des dunes, montagnes aux plissés vertigineux et aux allures de déferlante, cuestas aux arêtes interrompues, champs de pitons rocheux, rocs alignés comme des colonnes vertébrales de géants, canyons camouflant des oueds, reliefs aux allures de Monument Valley, hauts plateaux et ergs plombés par le soleil d'où pourraient surgir des cavaliers du désert des Tartares à la poursuite d'Antinéa, version Atlantide de Pierre Benoit - à dire vrai, on y croise plutôt d'indifférents dromadaires. Quand on quitte l'asphalte pour la piste, le paysage ne se fait pas moins romanesque. Et l'odeur âcre de la terre vient écorcher la gorge comme pour rappeler que le combat est perdu d'avance face à cette nature triomphante.

Et pourtant, l'homme est toujours là. Même ceux qui sont partis vers les grandes villes ou l'étranger reviennent régulièrement : ils ont rebâti à quelques mètres des maisons de leurs pères. Leurs transhumances ne troublent pas la modestie de la vie de ceux qui sont restés dans les oasis. On y croise des vieillards, des jeunes et des femmes assurant travaux agricoles et domestiques. Le matriarcat n'est pas qu'un phantasme de chercheur en anthropologie : le soir, c'est le chant des femmes qui résonne, rythmé par l'appel du muezzin. Sans doute les temps ont changé et les récoltes de cette agriculture vivrière d'orge, de blé et de luzerne ne rejoignent plus les agadirs, ces greniers collectifs érigés sur des pics défendables, à l'instar de celui d'Amtoudi, ou prenant en plaine l'allure de véritables ksars, comme Aït Kin, aux tours crénelées, pour échapper aux pilleurs. Ceux-ci n'ont même pas été remplacés par les touristes : il n'y a pas vraiment d'infrastructures pour les accueillir en nombre. Les rares que l'on croise sont de dynamiques retraités français traçant la route dans leurs caravanes climatisées. Cela n'altère pas la routine des bergers avec leurs cortèges de biquettes et de moutons. Les premières se régalent volontiers de ces arganiers ponctuant le début de la route, autour d'Agadir. Les plus audacieuses grimpent même sur ces robustes épineux qui sont l'une des principales ressources de la région depuis que l'huile d'argan a conquis ses lettres de noblesse au tournant du siècle. L'argan, concurrencé aujourd'hui par les figuiers de barbarie dont ont dit qu'ils pourraient devenir un nouvel or vert grâce aux vertus que leur trouverait l'industrie cosmétique : alors, à quelques kilomètres de l'Atlantique, ils couvrent des montagnes entières, les piquant de vert et du rose de leurs fleurs. Pas d'utilisation commerciale en vue en revanche pour les acacias - sinon pour baptiser le miel. Ils sont les seuls, avec quelques rares buissons de thym, d'armoise et d'absinthe, à supporter le climat dès que l'on entre dans ces terres. La route calligraphie alors une immense apostrophe inversée s'élançant vers le désert de sable, là-bas au loin. Avant d'atteindre ces dunes et les campements de luxe qui accueillent pour une ou deux nuits amoureux de Théodore Monod et de Lawrence d'Arabie, on aura goûté la fraîcheur de ces oasis qui sont la ponctuation du Sud. Elles sont plus ou moins grandes, plus ou moins entretenues. Avec leur allure de cliché de jardin d'Éden d'orientalistes, elles camouflent sous leurs frondaisons de palmes une vie autarcique, loin du fracas du monde. Même Skoura, la dernière étape, pourtant proche de Ouarzazate, échappe au tumulte. Quand, soudain, au détour d'un lacet apparaissent les eucalyptus et, au fond, l'Atlas enneigé, on sait que la fin du voyage est proche. Elle est douce dans le refuge qu'est Dar Ahlam, cette casbah reconstruite par un doux rêveur, Thierry Teyssier, au coeur de l'oasis. Un lieu échappant lui aussi aux troubles de la vie : quand on y arrive, il faut laisser le temps s'arrêter dans les jardins, prêter l'oreille au bruissement du vent et de l'eau, accepter de lâcher prise. Et se dire que l'on grandit à chaque étape.

source : http://www.lesechos.fr/week-end/voyages/voyages/021916844718- maroc-le-sud-reve-1221463.php?R0gUQIuf4m44MmKA.99

TAROUDANT, ZESTE D'EDEN

Cette visite guidée de Taroudant à travers ses jardins et espaces verts est pour  le moins insolite. Pour ceux qui ne l'ont pas encore lu, cet article paru dans  Libération est un hommage à la beauté de celle que l'on appelle la petite  Marrakech. Et donne envie d'y faire une halte.

Si vous avez envie de prendre votre temps, la nuit en maison d'hôte à Dar  Hossoun vaut également le détour. Les jardins botaniques y prospèrent. Derrière  cette merveilles, deux paysagistes français, venus découvrir Taroudant à la fin  des années 90 et tombés sous le charme de la ville : Eric Ossart et Arnaud  Maurières ont tout simplement ressuscité l'oliveraie laissée à l'abandon avec peu  de moyens mais beaucoup d'ingéniosité. Passionnés par l'architecture locale et  l'utilisation de la terre comme matériau de construction, Ossart et Maurières ont  réussi à faire sortir de terre des jardins luxueux qui font aujourd'hui le bonheur de  propriétaires et des invités qui y séjournent.


http://www.leconomiste.com/article/983384-apres-chirac-et-farah-diba-leffet-de-mode-taroudant-se-repand

JOURNEE INTERNATIONALE DU BIEN-ÊTRE
Samedi 11 juin 2016
Sofitel, Paradis Plage et Hyatt


Une journée pour se faire du bien, gratuitement ! 
A l'occasion du Global Welness  day, profitez de remises et de gratuités sur les programmes de bien-être des plus  prestigieuses enseignes de la région. Découvrez les programmes sur les sites partenaires de l'événement.

L'ATELIER QUIZZ
Mercredi 22 juin
Institut Français Agadir


Vos enfants et petits-enfants ont besoin d'exercice ? L'Institut Français  d'Agadir organise un atelier "Quizz : Sciences pour jouer avec tes amis",  mercredi 22 juin à 15h.

Ces ateliers  s'adressent aux enfants  entre 8 et 15 ans. Dans la limite des places  disponibles.

Inscriptions : [email protected]


CINÉ FRANCE-MAROC : PROJECTION DE « DÉGRADÉ"
Mardi 28 juin à partir de 22h00
Institut Français Agadir

Dans le cadre du ciné France-Maroc, l'Institut Français d'Agadir vous propose la  projection du film "Dégradé" d'Arab et Tarzan Nasser, le mardi 28 juin à 22h.

Synopsis : Une famille mafieuse a volé le lion du zoo de Gaza et le Hamas  décide de lui régler son compte ! Prises au piège par l'affrontement armé, treize  femmes se retrouvent coincées dans le petit salon de coiffure de Christine. 

Plus  d'informations ici.

Entrée libre selon les places disponibles.